Ce que l'humanité représente dans l'univers

05 Novembre 2021

Ce que l'humanité représente dans l'univers 

Nous les êtres vivants sur cette planète Terre, sommes induits à participer à une destinée collective en ignorant bien des aspects profonds qui nous ont conduits à être et à devenir.

Un bon nombre d'entre nous, se bat pour survivre, donc figurez vous si cette population fort nombreuse, multiraciale (environs 35% de la population mondiale) possède le temps, les motivations et l'énergie nécessaires afin de se poser de si profondes et inutiles questions.

Un autre bon nombre d’entre nous, survivant tant bien que mal, ou vivant plus ou moins aisément possèdent plus ou moins le temps, et sporadiquement s’interrogent quant à la raison profonde qui nous a conduit à être et à notre devenir. Mais généralement bien d'autres tracas et attraits les incombent au quotidien leurs interdisant tous approfondissements.

Puis sens oublier bien sûre tous ceux aux esprits très vifs, cultivés, ambitieux qui se sont destiné aux responsabilités, au pouvoir, les acteurs politiques et industriels, les magnats, l’élite qui a bien d’autres choses à penser que à ces petitesses.

Et pour conclure tous ceux dont leur métier est justement de « penser », de comprendre et découvrir, d’éduquer et d’instruire, tous ceux, acteurs scientifiques, chercheurs, professeurs passionnés, pointes du progrès qui ont fait le tour des questions les ont approfondies et qui humblement se disent nous avons bien avancé, mais il nous reste tellement de choses à comprendre et à apprendre encore.

La science avance à grands pas, et à chaque étape franchie, une multitude d’inconnues s’ouvrent aux nouveaux regards affinés, un peut comment si en ouvrant une porte, voilà que l’on accédé à un ’autre a déverrouiller et cela n’en finit pas, le mystère « existence » persiste.

Pourtant cette existence détient le dernier mot, la dernière porte d’aces dévoilant l’équation ultime, c’est évident, car sens cette évidence nous tous ne serions pas là pour nous interroger.

C’est ce qui motive toute notre volonté de comprendre, l’obstination d’une humanité qui veut tout interpréter par un commencement et une fin, qui ne se résigne pas à admettre que la vie est aussi probable ici qu’ailleurs dans l’univers, mais que l’intellect, l’intelligence et l’état de conscience nous rends uniques, rarissimes, seuls, bercés dans les bras spirale de notre galaxies spirale !

C’est intolérable, cette solitude nous pèse, à un tel point à nous inventer des certitudes, à s’inventer des extraterrestres, assimilables à des « Vendredi » des Robinson Crusoé, perdus dans l’île nommée Terre.

Nous n’avons pas idée de comment nous nous sommes diversifiés par rapport à la faune qui peuplait cette Terre, nous nous distinguons de l’animal tels le dauphin, le singe, l'éléphant, pour en citer que quelques ’un, nous sommes éminemment mieux adaptés, car nous sommes intelligents.

C'est pourtant par l’adjonction de quelques chromosomes en plus, qui ont eut la conséquence et le privilège de nous rendre conscients, nous répercutant tel à un miroir nous-mêmes, nos agissements, notre manière d’être, de se comporter, développant ainsi l’intellect, nous rendant habiles, organisés, conquérants des terres des mers, des aires et de l’espace, mais loin de détenir le pouvoir de conquérir sois même, sa propre nature, son origine, qui demeure un énorme point d’interrogation posé en plein milieu de l’arborescence Darwinienne. Nous ne sommes donc pas seulement uniques, mais en plus, nous ne savons pas comment, pourquoi et recherchons des raiponces.

Paléontologie, ethnobiologie, nous remontons les traces du passé, sens vraiment comprendre comment nous en sommes arrivés là, à ce XXI^ème siècle, rescapés des guerres, pandémies bouleversements de diverse nature, pour enfin être parfaitement adaptés, diversifiés, proliférant et à cause du nombre et de son agitation insouciante à saigner notre planète, notre île ou nous nous sommes égarés.

Tels aux glorieux empires du passé, Égyptien, Byzantin, Romain, devons nous échouer, nous anéantir, suffoquer étranglés par nos propres mains ?

Ce serait la pire destinée pour une humanité trop absorbée à cueillir l’instant présent, qu’elle en oublie l’avant et après, les conséquences de son passé insouciant et la fatalité de ses devenirs qui seront tels que l’humanité toute entière le méritera. Ce qui ne laisse présager rien de bon, nous commençons à ce jour 05 Novembre 2021 en apprécier les avant goûts et ce n’est rien par rapport à ce que nous réserve notre système solaire en déséquilibre. Nous en sommes responsables, nous, civilisation avancée, avec ses gratte-ciels, ses stations spatiales, son univers virtuel et fibre optique, ses centrales nucléaires, satellites …

Oui certes, avancée technologiquement, économiquement, administrativement, politiquement, mais certainement pas en bon sens, il est à la mesure de notre conscience collective aussi avides de bien-être, aride et appauvrie en conscience. Une planète désertique que nous allons offrir en héritage aux générations à venir, mais quelle importance ! De l’instant que nous ne serons plus là pour en subir les conséquences de notre présente « iniquité ».

Que s’est-il donc passé ? à quoi sommes nous passé à côté, en nous éloignant et en nous perdant dans nos convictions qui nous immolent dans notre avidité et aridité.

Une énième ère se profile à l'horizon des évènements, elle est à sa manière aussi inexorable qui le fût celle qui conduisit à l’extension des dinosaures jadis quelques milliards d’années, avant la parution des êtres humains.

Les dinosaures, espèce animale adaptée aux circonstances gravitationnelles de la jeune planète. Êtres massifs, énormes, si bien adaptés proliférant et peuplant chaque région de la terre en formation où les conditions et richesse de la nourriture permirent la surpopulation, sur terre, dans les aires, sous la mer de cette diversité ovipare, reptilienne, mamifères, à un tel point que impuissants périrent victimes d’eux-mêmes, de leur inarrêtable adaptation et prolifération.

Pour les dinosaures, se fût inévitable, mais pour nous les êtres extraordinaires, uniques, intelligents, ce serait un échec, une déplorable humiliation, car nous possédons les moyens intellectuels afin s'éviter une lente extension. Mais pour l'instant tout ce que nous savons faire c’est de compenser notre insouciance  par des mesurettes juste nécessaires à calmer l’opinion, pendant que sur la station spatiale, l’on dénonce (Thomas Pasquet, Septembre 2021) les feux, les incendies, l'on confirme la fonte des glaciers et des pôles.

Mais il ne faut pas brusquer les intérêts financiers des uns et des autres et alors ...

La planète vacille sous les poids de votre déferlement, personne ne pourrait interrompre vos propres choix, ils sont dictés par vos nécessités nouvelles, bien souvent irréfléchies, mal considérées dans leurs conséquences. Vous êtes pleinement responsable de vos agissements.

C’est ainsi, pour tous, on se doit avant toutes autres considérations de s’intégrer dans l’équilibre qui supporte notre propre évolution. Tout est « équilibre » ! Le rompre c’est se condamner à subir les conséquences nécessaires à son propre rétablissement.

Pouvons nous stopper les événements qui se profilent à l’horizon de nos devenirs ?

Oui, on le pourrait encore, mais il faut agir, et vite !

Quelles sont le mesures à prendre de toute urgence ?

Les confinements nécessaires afin d'endiguer l'actuelle pandémie qui frappe la population mondiale nous suggère une possible voie d'issue. 

Nous avons constaté que lors de ces ralentissements soudains de l'activité humaine, la nature a vite profité de cette haubane inattendue.

Ce qui démontre qu’il est nécessaire, voir évident d’établir une sorte d’aspire, expire tel à notre manière de respirer, assimilant l’oxygénation nécessaire et rejetant le dioxyde de carbone.

De même il serait opportun à titre d'exemple d’imposer un rythme dans nos activités du type semaine d’activité, soit même intense et semaine de confinement total, où pas un véhicule, un avion, une quelconque perturbation ambiante ne devrait avoir lieu.

Cela nécessite de toute évidence d’une organisation, une procédure avec ses protocoles et contraintes sens doute fort complexe à mettre en acte afin de considérer la multitude d’exigences et l’évidentes perte financière ainsi  que d’une perte de liberté d’être et de faire ce que l’on veut.

C’est le prix à payer, si en tant que « espèce en voie d'évolution» on désire poursuivre dans l’émancipation de nos consciences en instaurant les moyens, adoptant les solutions permettant l’adéquation à notre milieu de vie dont la qualité et stabilité se font garants de notre pérennité.

Si nous ne le faisons pas, d’une manière ou d’un ’autre, nous-y-serons contraints, par les conséquences qui se profilent à l’horizon. Conséquences amères riche de soudaines privations, ruptures brusques d’équilibres, engendrant les chaotiques et incontrôlables mutations territoriales, les uns voulant à tout prix rescaper et se réfugier dans d’autres territoires, nations où ces perturbations ne sont pas intervenues. Ce qui implique les privations, les souffrances, les complications bien plus aigües, que celles encourues lors-ce-que nous en avions encore le temps.

Il est nécessaire, impératif à l’instant que l’humanité apprenne à dépendre d’elle-même, de sa volonté et capacité à savoir s'adapter à ces nouvelles circonstances afin de survivre. Dans ce XXI^ème siècle nous sommes responsables de nos destinés plus que jamais, notre qualité de vie dépend de nous, tous !

Comment pouvoir entamer un processus de "récupération"  des dommages directs et collatéraux que au fil des décennies nous avons fait subir à notre propre planète Terre ?

Avant toutes autres choses, il faudrait que la communauté mondiale soit sens aucun doute convaincue que nous sommes dans un parcours irréversible,  aboutissant à plus ou moins long terme à des situations critiques et dramatiques.

Apparemment les signes précurseurs  d'un lent mais certain déséquilibre  mondial de nos conditions tant climatiques que géologiques, n'ont pas suffisamment impressionné l'opinion mondiale.

Mais personnellement je suis pratiquement certain que derrière ces signe précurseurs vont intervenir des véritables bouleversements.

Mais l'on ne pourrait se fier à des ressentis, des "sensations" et des cris prémonitoires, ce que l'on veut avant d'agir vraiment c'est d'être acculé, de constater de visu nos erreurs, d'avoir les épaules au mur, de ne posséder d'autres issues que de réagir.

C'est ce qu'il va ineluctablemant  se produire !

Les déséquilibres vont être à la mesure de notre "impressionnabilité" 

Suite :

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