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14 Nov

suite, Ce qui l'humanité représente dans l'univers

Publié par Raf An

De ce constat, fort décevant, déroutant, interdisant à quiconque d’alerter l’opinion des leaders gouvernementaux aux quels a été entre autres confiée notre sécurité.

Voilà donc, qu’en ce qui concerne mon cadre d'action est de tenter de contrer une opinion toute faite et prise à la légère, d'apprès le dernier congrès COP 26 et C.A.T. de Glasgow en réagissant de manière assez irresponsable, prenant les événements catastrophiques encourus dans le monde comment pas assez "marquants". De toute évidence ils ne se doutent pas de ce que représentent ces claires signes qui vont bien au-delà de la simple et banale prise de température de notre planète .

Le CAT warming projections tient compte d’un déséquilibre de la température ambiante de notre planète, qui ne justifie en aucun cas un critère sur lequel axer notre capacité à pouvoir prévoir ce qu’il pourrait intervenir dans la décennie à venir. C’est un, parmi les dizaines des critères contemplés et déterminants l'équilibre géothermique de notre planète.

C’est le critère le plus évident et parlant à la masse, une manière comme un 'autre de calmer l'opinion publique. En sois cette prise de température n’occasionne pas plus d’intérêt que celui d’ouvrir la fenêtre et se rendre compte qu’il pleut, de la même manière que la fonte des pôles et glaciers nous en fournissent des signes évidents, autant que la croissance des maladies respiratoires dans le monde et nations les plus touchées (Inde, Chine en tête de liste). Nul besoin donc qu’un congres fort couteux et polluant tienne à justifier sa présence et action afin de nous dire ce que nous savons déjà, car nous le subissons. Ce que nous leurs demandons en claire c'est de savoir s'ils sont en condition de prévoir une évolution, de pronostiquer que ce passerait-il si ? la Chine, Inde, U.S.A. Russie en tête et le reste du monde au lieu de diminuer significativement le taux de carbone ne feront que l'augmenter.

Car c'est ce qui est en cours de se produire, maintenant, pendant et en conclusion de ce CAP 26, quelle remarquable contradiction, absurdité. Manifestement cette coûteuse mascarade mondiale n’est qu’une maladroite manière de vouloir masquer notre impuissance, notre incapacité à affronter et situer convenablement  ce problème de manière bien plus sérieuse, d'avantage scientifique, tachant de mieux réunir les nombreuses variantes que réunies produisent non pas que le réchauffement climatique, mais l'augmentation du contraste entre pics de froid hivernal, et pics de chaleur estivale, ce qui marque clairement une différence, au lieu de tenter de calmer le jeu par des puériles mesurettes précautionnant notre évident manque de compétence ou de volonté.

Sommes nous dos au mur ?

Que font-ils les pointues et fort couteuses  organisations scientifiques, les puissants calculateurs sont-ils tous trop accaparés et occupés à gérer une économie mondiale plutôt que à livrer des simulations claires et tangibles d'une évolution géothermique de notre planète qui pourrait à moyen terme se révéler fatale pour l'humanité toute entière.

Avez-vous ténu compte d’un certain nombre de facteurs moins évidents et fort moins divulgués, tels à l’éloignement constaté de notre satellite Lune (constats par mesure laser du renvois par miroirs déposés sur le sol lunaire); d’une aussi évidente accélération de la nucléosynthèse solaire et relative suractivité neutrinique, (constatée, ICE cube aux pôles) ; de la progressive disparition de l’œil cyclonique de la planète Jupiter, et bien d’autres considérations d’ordre astrophysique qui nous fournissent des signes évidents d’une mutation en cours, non et pas seulement de notre température, mais et surtout d’un processus accélérateur d’une évolution de notre système solaire. Ce qui marque une claire et inéquivoque différence.

Je ne suis qu’un esprit libre, détaché de tous autres intérêts, la politique, la religion m'importent peut, j'ai dédié mon existence à comprendre, étudier, découvrir les mécanismes intimes planétaires, solaires et les liens que cet univers de l'infiniment grand occasionne au niveau d’un univers bien moins connus celui de l’infiniment petit, quantique.

Je suis en condition de vous démontrer que la situation est bien plus complexe et révélatrice d’un état de fait, à cause d’une et d’une seule aggravante

laquelle ?

Notre présence, l’activité de notre « civilisation » !

Que je sache, parmi les planètes formant le cortège solaire, notre planète Terre est la seule (c’est désormais une certitude) à accueillir et entretenir des formes de vie plus ou moins complexes dont la nôtre, collective, intensément active humaine.

Cela fait déjà des dizaines d’années (environs 95 ans) que dans un crescendo inexorable nous puisons du manteau de notre Terre les ressources fossiles, charbon, pétrole, gaz, nous sommes arrivés à un niveau touchant des pointes insoupçonnées.

Nous sommes nombreux, nous dévorons, nous consommons, rien et personne pourrait l’empêcher.

Posez vous la simple et pertinente question :

Cet état de fait, est-il légitime et prévus dans l’équilibre de notre planète, et par voie de conséquence dans celui d'un tout au quel elle est liée, notre système solaire.

Je ne crois pas ! C’est un choix parmi bien d’autres que le hasard à permis, et à ce jour, nous sommes intégrés dans un engrenage, dans des circonstances que notre volonté, notre conscience ne sont pas en condition de stopper un processus qui pourrait se révéler autodestructif sens le vouloir, le propre de l’ignorance.

Nous en prenons plus ou moins conscience, mais dans le monde le pompes déversent le précieux liquide ; les mines et centrales carburent et rugissent, Inde, Chine, Russie, Allemagne, U.S.A. et bien d’autres nations raffolent les milliards de tonnes de charbon nécessaires. La Russie assure l’Europe que les pipelines poursuivront à délivrer le précieux gaz extrait. En somme tout se passe comment si rien ou si peut ne saurait interrompre cette emprise que l’homme possède sur sa propre planète, et la température augmente, le réchauffement climatique est de plus en plus évident et marquant.

Que se passe-t-il donc ?

En ce qui me concerne c’est évident, nous altérons un normal cursus naturel, lequel n’étant pas en condition de prévoir que sur une des planètes une forme de vie si bien adaptée produise cette plus qu’évidente altération.

Qu’altérons nous donc, de ce fait ?

Nos couches fossiles, nous altérons ainsi l’équilibre naturel de notre "propre" planète.

Comment ces couches participent-elles à cet équilibre ?

Tel à tout ce que le temps à établis, sur lequel axe son propre équilibre, parmi lesquels, ces couches fossiles qui assument un rôle essentiel, absorber le taux juste nécessaire au maintien d’un équilibre du noyau terrestre, elles en absorbent les excédents des neutrons, neutrinos solaires, « les énergies noires » qui finement convergent au centre, au noyau, l’alimentent, l’entretiennent. (C’est pour cela que ces couches s’enrichissent et restituent le pouvoir énergétique fossile accumulé).

Ce qui implique l’accélération d’un processus convectif, où par la suractivité du noyau terrestre, artificiellement induit, voila que celui-ci augmente sa masse, réduisant son volume, nous induisons et influençons involontairement sur l’équilibre géomagnétique stationnaire de notre planète.

Je vous passe les nombreuses constantes altérées par ce fait dont l’osmose conjonctive magnétique entretenue avec notre satellite Lune. Notre planète Terre se faisant ainsi plus lourde s’éloigne de sa lune, en avançant dangereusement dans la bande étroite, dite « de valence », de survie,  la maintenant à la distance nécessaire de l’intense activité solaire.

C’est la cause évidente (mais pas pour tous !) de notre réchauffement climatique l’été et le froid plus intense l’hiver, (nous en possédons un claire exemple avec la planète Vénus, au-delà de cette bande de valence). La déstabilisation climatique que nous subissons et subirons de plus en plus dans un proche avenir.

Donc en perdant peu à peu ces équilibres permettant à ce système binaire constitué par Terre et Lune d’être en osmose et en équilibre avec le reste du système planétaire et solaire lesquels devraient rester inchangés (dans leurs jus, tels que naturellement établis).

Comment ce système « continuum » cherche-t-il donc à se rééquilibrer ?

L’accélération est induite à partir de la seule planète habitée et par ricochet elle est transmise et interfère l’entier système solaire (continuum) à l’avant, par Vénus, Mercure, Soleil et à l’arrière Pluton, Neptune, Uranus, Saturne et Jupiter la dynamo binaire qui couplée avec notre dynamo Soleil renforcent et accélèrent le processus de nucléosynthèse solaire.

Je vous épargne les prévisions et évolutions que j’ai eut occasion de simuler par ordinateur, de ce nouvel équilibre qui interviendrait si rien ne changeait dans cette « interférence », cela donne des frissons.

C’est à peu près semblable à celui qui intervient lors de la fusion nucléaire pure, où au niveau quantique l’atome d’hydrogène perd son électron (tel que la Planète Terre perd sa Lune), électron récupéré par l’atome privé de son électron le deutérium, (tel que la Planète Vénus récupère la Lune).

Au niveau quantique, amorçant ainsi la réaction en chaîne et en avalanche de la fusion nucléaire pure et à notre niveau de l’infiniment grand, par un désordre et désastres irréversibles qui va en crescendo concluent ainsi l’évolution  d’une civilisation sur Terre qui comme des précédentes évolutions qui telle à la nôtre, n'ont pas eu, ou ne se sont donnée les moyens de comprendre à temps leur propre intégration.

L’évolution se poursuivant sur le néo système binaire constitué de Vénus et de son nouveau satellite accaparé, comme de norme et comment cela l’a été déjà dans notre passé qui vit fleurir une civilisation qui atteignît un excellant degré évolutif, mais pas suffisant afin de pouvoir survivre, se concluant par un « pourrait faire mieux » !   Et recyclage… Déplorable scenario !

La naine jaune devient ainsi plus chaude, plus tendant vers le blanc compensant ainsi cette imprévue anomalie causée par le genre humain.

C’est une tentative de synthèse et divulgation d’un certain nombre de constantes bien plus complexes qu’il ne paraissent et qui ne sont pas encore suffisamment prises en considération qui devraient à plus ou moins brève échéance permettre de développer et approfondir une discipline scientifique fort nécessaire, « la planétologie », c’est en l’occurrence ma spécialisation.

 

Mais que veut donc nous faire comprendre l’existence ?

 

Que passé le temps d’une adaptation humaine supportée par des automatismes et conditionnements naturels, arrive un moment critique où cette adaptation dépend de notre propre « bon sens », notre « sensibilité », notre qualité de discernement de ce qui pourrait être bon ou mauvais pour nous, par plus de sagesse, de préparation, d’amour et de respect de la vie, de toutes vies.

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Que veut donc nous faire comprendre l’existence

 

En vérité il ne s’agit pas de volonté, la vie sur l’être plus ou moins émancipé n’a aucun pouvoir.

Cette affirmation revendique un degré de liberté absolue, liberté ou libre arbitre qui nous rend responsable de tout ce que nous sommes ou pouvons être, devenir.

C’est une évidence, elle implique donc notre individuel et collectif degré d’adaptation, notre émancipation intellectuelle consciente ou non d’un certain nombre de valeurs qui définissent sa propre capacité à savoir s’intégrer dans un contexte dont il connait, apprend un nombre plus ou moins limité de contraintes, de règles qui conforment son comportement individuel, puis social, collectif,  et il possède le droit ou pas d’adopter les mesures qui plus conviennent au respect de ces règles garantes de sa propre pérennité.

Cela parait essentiel, aussi évidant que l’être tentant un plongeon sans au préalable avoir vérifié s’il y a de l’eau dans sa piscine, cela est révélateur de conscience, ou d'inconscience sellons les cas !

Et pourtant cette évidence n’a pas marqué le parcourt historique des hommes, la conquête des territoires et la domination d’autres peuples, cela, oui, bien sûre, du bienêtre et commodités aussi, des connaissances et prises de conscience un peu moins, ou pas suffisamment et correctement à mon humble avis.

Ce que j’entends par prise de conscience, c’est que au préalable il aurait été nécessaire de getter des bases solides garantissant que, quoi que l’on face ou que l'on entreprenne, au titre individuel ou collectif, cela ne mette pas en danger dans l’immédiat et un proche avenir l’intégrité physique, ou d'ordre moral, intellectuel de ces mêmes individus ou collectivité dans leurs légitime élan d'adaptation et évolution. Dans tous les cas créatif, tachant d’imposer une solution, une application, voir même un concept dont les remarquables inventeurs ne sont de même à en savoir évaluer et en prévoir les risques et conséquences une fois adopté par toute une communauté.

En peu de mots, nous, notre culture dans le passé et au présent, nous ne nous donnons pas assez de moyens et ne convenons pas des méthodes qui puissent plus ou moins prévoir,  garantir que dans un moyen terme ces solutions ne s’avèrent dangereuses pour la collectivité, qu’elles ne transgressent en aucun cas les préceptes réunis et instaurés qui conviennent à un équilibre instauré, primant avant toutes autres considérations, la pérennité  d'un équilibre naturel garant de la stabilité collective humaine.

Ce qui implique qu’impérativement une contrepartie, un pouvoir discriminatoire décide si oui ou non il est opportun d’appliquer et divulguer l’adoption de telle ou telle autre tendance, coutume, précepte, invention, application crée à son origine, pour « le bien » ou le « mieux » d’une communauté. Je crois que tant l’individu, la société que le pouvoir a été trop souvent subjugués par l’appât et l'attrait des gains et bénéfices, plutôt que à évaluer et étudier, tester, prévoir, anticiper des éventuelles conséquences préjudiciables.

Historiquement ce rôle que j’estime de vitale importance a été attribué à un système sacerdotal, lequel, dédiant plus de temps que de coutume populaire, à la recherche de la vérité, se cultivant, s’organisant, se disciplinant d’abord épaulant le pouvoir, qui soumettait au corps sacerdotal les initiatives, les entreprises tel à l’ancien Egypte, puis de plus en plus et mieux structuré par l’église soit-elle musulmane, bouddhiste, catholique, etc. qui définissaient les règles et qui lentement constituèrent des véritables piliers donnant le pas aux diverses ethnies et cultures régies par la gouvernance et marqués par le baptême, la communion, la confirmation de l’église.

Nous avons ainsi été influencés pendant des siècles par le reflet d’un model possédant comme base la superstition, bien plus que la connaissance, la dévotion à un pouvoir surnaturel, à la place d’une meilleure conscience, d’un amour pour les autres, transformé en pouvoir sur les autres. Oui les religions nous ont marqués, et voilà où nous en sommes.

Oui , bien sûre, nous nous sommes extraits de ce piège idolâtre, détrôné par la science, mais bien encore des plais non cicatrisés persistent et limitent une idonéité collective, ne sachant encore à quel « saint se vouer ».

Qu’aurait fallu d’autre pour éviter cette énorme perte de temps, cette déformation d’une culture dominante œuvrant pour le bien de l’humanité.

Je pense qu’un Merlin du moyen-âge intégré dans la table ronde avec son roi Arthur, aurait été bien plus opportun. Merlin bien plus proche de la vie et de la nature, le sage conseiller bien plus affiné à l’aspects scientifique, observateur, créatif, avec la dose de mystères, les vrais, essentiels qu’il aimait contempler dans les constellations, qui le prônait dans la conquête du savoir et de la connaissance. C’est l’arc de temps perdu, avant que n’interviennent des tempéraments tels à Galileo, Leonardo da Vinci, Newton…A. Einstein…

Le hasard des circonstances en ont voulu ainsi !

On aurait dû nous dire, nous mettre en garde, dès l’affinement des premières consciences, plus objectives que subjectives, avec des postulats du type « à chaque action correspond une réaction égale et contraire » plutôt que la passion du Christ, la sainte trinité et la vierge Marie.

A l’heure actuelle nous serions davantage en mesure de savoir juger ce qui est le plus urgent d’entreprendre pour le bien de l’humanité.

Aux larmes versées lors de la conclusion de ce dernier congrès COP 26 et C.A.T. de Glasgow,
feront écho les larmes de tous les expatriés, les populations et innombrables victimes des inondations, alluvions, les incendies, l’aridité d’un sol jadis fertile. Nous avions encore le temps d’intervenir dans l’émergence, mais la fatalité à voulu que en principal, Inde, Chine, se soient opposées et ont fait pression, compromettant à tout jamais l’avenir de toute une humanité.

Nous sommes tous responsables de cet état de fait !

L’avenir nous dira. L’étroite fenêtre de notre sauvegarde en attendant se rétrécit de plus en plus

Raffaello Mazza,  14 Novembre 2021, en conclusion du dernier congrès COP 26 et C.A.T. de Glasgow

 e-mail: annieraf63@gmail.com

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Life want Life want God want Life