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18 May

Que la Force soit avec Vous️

Publié par Raphael Mazza

Que la Force soit avec Vous️

LA PERCEPTION DE L’ESSENTIEL

 

Percevoir, voir à travers ;

Essentiel,  ce  qui est vraiment important et qui se cache derrière les apparences.

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Nous, les humains, plus ou moins, tous, sommes prisonniers des apparences, des « autosuggestions » qui à la longue créent « les stéréotypes ». Nous nous sommes amplement entraînes, je dirais même que nos noyaux familiaux, la société,  nous ont « cultivés », ils ont fait de nous, le produit brut et vierge venant au monde, ce que nous sommes et totalisons à l’instant même.

C’est le « trempage », la forge d’où proviennent tous les êtres humains, nous avons tous étés « tamponnés et catalogués». Nous sommes tous intimement liés à la séquence : 1) berceau de notre naissance reflet du lien familial ; 2) berceau et reflet socioculturel, on ni échappe pas !

Cela dit, dans cette « normalisation », apparaissent des pics, allant plus ou moins vers le haut de cet « écrêtage » je me réfère à tous ceux qui ont pris le droit, d’assumer et exprimer leur différence, les musiciens, chanteurs, acteurs, jongleurs, saltimbanques, poètes, écrivains, scientifiques, philosophes et religieux plus ou moins renommés, tous ceux qui appartiennent à la catégorie des « rêveurs », les marginaux, d’une communauté sociale et culturelle "productive"  d'avantage que "créative" qui nécessite de s’extraire de temps en temps du « carcan » quotidien par les distractions et approfondissements qui nourrissent la part d’eux-mêmes appauvrie et atrophiée de rêverie, de poésie, d’harmonie et d'avantage de conscience, dont ils nécessitent autant que de l’air qui respirent.

Nous tous, qui ou quoi nous soyons nécessitons aussi du droit d’être en harmonie avec nous même d’abord, avec notre conscience cultivée « d’être » puis avec notre communauté la plus étroite, notre contexte quotidien.

La commencent les problèmes, naissent les obstacles et les impossibilités, nous demeurons au fond dans l’incapacité de participer à un cadre qui ha en apparence tout appréhendé, sauf « l’harmonie », la sérénité qui semble de plus en plus exclue de notre réalité, nos esprits libres viennent de ce fait étouffés et contraints par notre matérialisme.

Pouvons-nous, tous ! Cultiver, s’approcher à ce « idéal » perdu ? Qu’il faut retrouver, sens pour cela trop s’en approprier à fin de le reconquérir, sorte d’expire, vie plus ou moins banalisée, de tous les jours et aspire, harmonie, sérénité, en nous, pour nous, sens pour cela prétendre qu’il soit égal, constant  et partagé par tous !

Ces simples mots expriment déjà le délicat équilibre nécessaire dans la conquête de « notre » harmonie notre équilibre sensible, notre sérénité, il ne sont ni égaux pour tous, ni de commune mesure, ni constants.

C’est la quête que je vous invite à atteindre, en découvrant d’abord ce que veut dire et ce qui implique vivre dans l’harmonie, dans la sérénité perdue, pour en suite vous aider à atteindre les niveaux que vous-mêmes jugerez opportuns à votre identité et place dans cet univers, ce monde et civilisation.

 

  • Ce que veut dire et ce qui implique vivre dans l’harmonie, dans la sérénité perdue ;

 

Nous sommes soumis, dés l’âge de la raison à une sorte de compromission, « tu rentre à faire partie de notre organisation sociale, intellectuelle, culturelle, mais tu nous dois, ta participation et ta liberté »

Ce que dans une certaine mesure, est légitime et raisonnable et on si accommode, environs cinq à six jours par semaine, huit heures par jour de moyenne, cette perte de liberté, tolérée et acceptée de plus ou moins bon cœur par la multitude. Chacun y tire son profit, sa commodité, et joue le jeu.

Les profits parmi les plus évidents ce sont :

1.) La confrontation de soi avec les autres, son propre bon ou mauvais sens, ses qualités ou ses défauts ;       
     l’affirmation de soi, la culture de soi parmi les autres dans un bût commun ;

 

2.) L’instauration des variantes,  nécessaires à confectionner nos destins sur mesure ;

 

3.) Exprimer le plus librement que possible nos «naturelles prédispositions », les développer et les assumer dans le bien ou le mal commun, pouvant aller du sacrifice de sois, de sa propre liberté pour les autres, ou de ceux qui pour leurs profit, privent, perturbent, volent la liberté aux autres, en trouvant cela tout-à-fait normal, encourageant cette démarche, la consolidant;

 

Tout au moins dans notre culture Européenne, sans vouloir entrer dans des détails dans, des considérations ethniques, socio-culturelles pour l’instant, disons que nous nous baladons dans nos vies entre ce que nous voudrions être, et ce qu’en grande proportion de notre temps, nous sommes, en instaurant une spontanée et naturelle bipolarité et pas mal de confusion dans nos âmes, nos consciences.

Les fins de semaine, les festivités, les congés d’hiver et d’été sont la en tant que soupape de sécurité pour assouvir les « nous sommes», le reste c’est « le sacrifice de soi pour les autres » cette vague identité, à laquelle nous avons concédés tous les pouvoirs à nos gouvernements, nos élus qui nous guident, nous administrent plus ou moins sérieusement. Pour l’instant, c’est ainsi, de temps en temps naissent des désordres, des « rebellions », des confusions et tensions, mais tout s’apaise inévitablement toutes crises ont un debout et une fin…...... Même en Russie, Chine et  Corée du Nord !

De cet état de fait, de cette « allégeance » il faut en extraire notre harmonie, notre équilibre sensible, notre sérénité, autant vous dire que ce n’est pas une tache facile.

  • Atteindre les niveaux que vous-mêmes jugerez opportuns à votre identité et place dans cet univers, ce monde, cette civilisation ;

 Considérons que les choses vont comme elles vont, que nous avons plus ou moins bien conclus nos études, nous nous sommes plus ou moins bien intégrés dans notre société, qui est plus ou moins bien gouvernée dans un climat sociopolitique mondial toujours délicat, par fois préoccupant, par fois effervescent et en  commémorant ceci ou cela.

Bien nous conduisons nos vies, en solitaires ou en couple, peut importe, chaque condition comporte les avantages et handicaps propres à l’adoption ou non de la constitution d’un noyau familial et affectif.

De norme dans environs 78% des cas nous constituons un « noyau familial» s’intégrant dans la société dans laquelle, nous assumons nos devoirs et nos droits, nous puisons nos nécessités et exprimons ce que nous sommes et aussi ce que nous voudrions être. Nous en tant que homme, femme, père, mère, nous allons outre la semple adaptation dans ce contexte, tel que nos géniteurs l’ont fait à leur tour et à leur temps.

Notre intégration est « pétrie » dans un magma de coutumes, modes, stéréotypes comportementaux déterminant les exigences, rythmés par le sacro-saint travail quotidien du quel nous tirons nos ressources. Ressources qui seront proportionnelles à nos exigences.

Ainsi nous parcourrons nos années de vie, nous nous « contentons » de ce que on nous à transmis, même si au fond ce n’est pas vraiment nous qui choisissons, nous nous adaptons c’est tout ! Et au fond que pourrions-nous bien faire d’autre ? Dans la plus ou moins précoce parenthèse juvénile dans l’âge où l’on commence à ce faire une opinion en puisant ici et la les courants d’opinion, on se projette généralement pas tout à fait prêts et on entre dans le système, ou on le rejette et on en sort et on se marginalise de manière « singulière ».

 

Nos vies ne dépendent pas de ce que nous voulons, mais de ce qu’on nous impose de vouloir, nous  ne perdons pas nos vraies identités, nous les récupérons par et dans ce milieu support tel qu’il à été confectionné génétiquement et socio culturellement dont nous en héritons et par fois les héritages sont plus ou moins difficiles à vivre et à assumer. Les pressions prévenantes de toutes parts, les influences pernicieuses, les exemples assaillent les êtres encore trop jeunes pour se faire une opinion tant d’eux même que des vrais valeurs, celles qui comptent, attirées par les aspects les plus superficiels, les choix de facilité et commodité, attirées par la nouveauté de cette existence que nous affrontons tous très dépourvus. La vie n’est pas une partie facile  et nous l’apprenons tous généralement trop tard !

On nous cultive, dans les structures les édifices scolaires, les instruments et les hommes et femmes nos enseignants nos professeurs, on nous formate, tels que nous devons être, on nous transmet intégralement le flambeau social, que nous devons porter sens poser des questions, nous nous soumettons à un « ordre » préétabli, l’artificier c’est l’histoire, l’histoire des hommes, si on la parcoure avec la froideur nécessaire, elle est parsemée d’erreurs plus ou moins flagrants, dont les témoignages les plus évidents sont les grands conflits mondiaux, les atrocités commises, très peux d’héros, beaucoup d’inconscients et de lâches, énormément de victimes et d’innocents. C’est dans ce monde que nous entrons, que nous devons trouver notre place, notre voie.

Chacun de nous s’oriente à l’âge dite « de la raison » sellons l’éducation reçue par notre milieu familial, qui complète celui « atavique » sur lequel vont s’inspirer, se développer, se bâtir nos propres inspirations que nous cultivons dans le terrain fertile ou stérile social, communautaire, jour après jour. Nous possédons tout de même les moyens et les opportunités de nous améliorer ou empirer, faire progresser ou régresser notre intime identité, en âme et en conscience, que nous-mêmes par fois nous avons du mal à comprendre et à admettre.

C’est l’agitation, le brassage des influences axées sur nos expériences qui vont progressivement tisser notre « cocon » identitaire, que nous le partagions ou pas avec « notre élu/e », notre compagnon ou compagne de vie avec lequel nous constituons ou pas notre propre noyau familial.

C’est à ce point précis lors de cette maturation de ce cocon qui intervient généralement à l’âge d’environs 40, 45 ans, où tous qui plus qui moins, sommes immergés dans nos cadres de vie, nos responsabilités.

Si on le désire nous pouvons saisir l’opportunité de nous alléger du poids du fardeau de notre contribution avec la collectivité, sens absolument changer quoi que ce soit, en poursuivant une partie faussée dés le départ, par une réponse tout aussi faussée à l’arrivée c’est-à-dire à l’âge de la maturité, dans laquelle jouer le jeux, non pas seulement par les règles en vigueur, mais aussi celons les règles définies par chacun de nous. 

Nous en  avons le droit, et c’est un droit constitutionnel, à nous d’identifier le mode la manière d’assumer cette « compromission » seul ou avec son conjoint, ses enfants et familiers si peuvent et veulent les adopter, pour atteindre la voie de la liberté, de l’harmonie,  dans la sérénité conquise par une prise de conscience « affinée » qui nous permettra de vivre mieux tout simplement en adoptant les règles de vie qui vont suivre.

 Voyons de les énumérer :

1.) Affiner la perception de ce que nous sommes vraiment, comment et pourquoi nous intégrons notre place dans cette planète et dans notre communauté sociale;

 

2.) Faire un point sur ce que nous considérons comme « facteurs essentiels » justifiant nos vies à nos yeux, et notre conscience ;

 

3.) Intégrer le contexte considéré favorable à l’acquisition d’une nouvelle conscience, s’ouvrant à d’autres prospectives que celles disons « forcées » du contexte socioculturel en vigueur, changer de source d’inspiration de ce que nous désirons être, pour dépendre d’avantage de ses propres sensations, de ses propres choix plutôt que de ceux des autres  ;

 

4.) Garder constamment un œil et une oreille attentifs au contexte de vie dans l’autre polarité celle de la nécessité quotidienne, comparez le et jugez le attentivement par rapport à l’établissement et à l’avancement de votre propre contexte et méthode de vie dans votre nouvelle polarité de votre être que vous avez choisi et assumé, tirez les conclusions, faites un bilan, corrigez les dérives, assumez cette necessaire bipolarité.

 

Cette dichotomie forcée  dans cette distinction de ce qui est nécessaire pour être, et ce que nous sommes vraiment, il se doit d’être vécue sens les confondre, sens que l’une envahisse l’autre, ce n’est pas un exercice simple, mais avec de l’exercice l’on si fait, on s’adapte et on adopte ce nouveau expire – aspire, rythmant notre nouvelle manière d’exister;

                                                                                                      

Commençons à développer ces  quatre points

 

1.) Affiner la perception de ce que nous sommes vraiment, comment et pourquoi nous intégrons notre place dans cette planète et dans notre communauté sociale;

 

Nous ne sommes pas ici dans cette planète, ce contexte spécifique et particulier par un simple et exclusif hasard, nos destinées dépendent de bien des facteurs, de bien des vicissitudes passées dans d’autres époques, voir dans d’autres mondes, donc d’un bon nombre de variantes et d’impératifs dont pour le moment nous en ignorons dans notre semi-conscience les tenants et les aboutissants.

Si nous ne nous contentons pas de cette assertion et la trouvons vague, et désirons aller autre et l’approfondir, référez vous à la thèse « Prodigieux principe » et « Nouvelle hypothèse permettant de justifier l’existence » du même auteur (Raffaello , rafannie630@gmail.com) Si votre niveau sensible et de perception de ce que est la vie et de ce que représentons nous les êtres humains, vraiment, dans quel cadre et contexte évolutif nous nous inscrivons, comment vous aurais je l’espère l’opportunité de le lire et de vous faire une opinion, vous réaliserez que votre vie, nos vies, dépassent amplement le cadre de nos petites vicissitudes dans cet hémicycle planétaire, dans cette dimension régissant et supportant nos propres vies.

Si vous prenez acte de cette ample panoramique élargissant la vision que pour l’instant nous possédons de l’existence, si vous faites votre,  la prise de conscience en défrichant, ratissant et en s’inspirant de ce témoignage, vous devriez parvenir à un même résultat « commun », la prise de conscience de :  
 

En quoi consiste et comment nous participons « au jeu de l’existence » quels en sont les tenants et les aboutissants.

Je vous laisse juges, seulement votre propre expérience sera en condition de vous guider pour parvenir aux mêmes conclusions, la vérité est « une », et on ne nous la cache pas, elle est la, suspendue béante, elle attend seulement d’être comprise et apprise à fin de régler nos pas.

Pour l’instant maturé ce premier concept, en avant première à tous les autres, nous sommes disponibles par adresse e-mail indiqué dans la thèse à fin de répondre à vos questions et à vous aider dans vos interprétations.

Cela dit, passons au point 2

 

2.) Faire un point sur ce que nous considérons comme « facteurs essentiels » justifiant nos vies à nos yeux, et notre conscience ;

Cela dépend si vous attribuez ou pas de l’importance à ce que vous présumez être, de votre dégrée d’intériorisation et de sensibilité, de votre ouverture d’esprit et de prédisposition à une plus grande ouverture de votre conscience. Dans le cas contraire, n’en faites rien, ce n’est pas conforme à vos idéaux, à votre expérience de vie tel que vous l’entendez, donc passez outre et vivez comment bien vous l’entendez, nous en ferons de même.

Dans le cas où cela en grandes ligne est plus ou moins conforme à votre propre opinion que vous aurez réunie sur le sujet, alors poursuivons.

Il est nécessaire à ce stade faire un point, en vous-mêmes, dans votre organisation de votre existence, seuls, ou avec votre noyau familial, débattez de ce qui plus importe pour vous et pour tous les êtres qui ont pour vous de la valeur, donnez, somme toutes une direction à votre quête, il en existe autant qu’il y-à d’êtres humains plus ou moins dans des semblables circonstances. À vous d’identifier la votre et pour chacun de vous.

Sens vous laisser envahir par les vicissitudes dans le plan social, mondial, ne vous préoccupez pas plus de tant, prenez acte et suivez l’avancement en dents de scie du prodigieux avancement de l’évolution collective humaine. L’heure est grave,  nous nous approchons de plus en plus du vortex irréversible des conséquences de nos choix, de notre irresponsabilité dans le passé, l’homme est en plein apprentissage de la vie, et cet apprentissage doit se faire dans sa chaire, par ses souffrances, dans cette prospective il vaut mieux être prêts. La destinée de l’humanité sera telle qu’elle le mérite. 

La privation après avoir goutté à la joie d’être libre enseigne la liberté, le manque de sensibilité se soigne par la souffrance, le manque de considération se soigne par l’amour, l’insouciance et l’égoïsme par plus de responsabilités, nous allons être conduits à produire le monde dans lequel nous vivrons, l’ère de l’asservissement naturel et spontanée se termine, nous vivrons dans la condition et situations qui ne dépendrons que de notre pouvoir collectif, nous allons apprendre ce que veut dire vraiment « responsabilisation », « union, cohésion, respect ». Pour le moment considérez que ce que vous allez entreprendre, pour vous, en vous, aura de la valeur précisément dans et  pour ces circonstances. Avancez avec cautèle, approfondissez attentivement vos choix, ne vous laissez influencer que par votre voix intérieure, laissez la surgir,  permettez à votre être « subtil » de vous suggérer ce qui est et sera le plus opportun pour votre manière d’appréhender votre existence à venir 6.

 

…… .Que la force soit avec vous ! 

 

…… .Que la force soit avec vous ! 

 

3.) Intégrer le contexte considéré favorable à l’acquisition d’une nouvelle conscience, s’ouvrant à d’autres prospectives que celles disons « forcées » du contexte socioculturel en vigueur, changer de source d’inspiration de ce que nous désirons être, pour dépendre d’avantage de ses propres sensations, de ses propres choix plutôt que de ceux fermentées par d’autres;

 

Si vous avez l’opportunité de « déployer » vos ailes de conscience, qui vous supporterons en vibrant dans l’aire nouvelle, conquise par votre propre effort, vous êtes en paix avec vous-mêmes, vous payez assez chère cet espace conquis par environs 65 % de votre temps, par votre contribution sociale, sachez tirer le mieux de ces deux circonstances, réalisez les par ce qu’elle valent vraiment, c’est votre polarité, déséquilibrée certes, appuyez vous comme lors de vos pas en marchant, gauche, droite, et on avance.

Oui, ce n’est pas facile de les faire cohabiter, mais vous verrez, vous tâtonnerez au débout puis vous allez accélérer le pas, trébucher de temps en temps, pour mieux courir, ou mieux voler, aile gauche, aile droite, étirés certes, mais l’étirement participe au « pétrissage  » de notre plus ample conscience d’être et de devenir.

Un conseil, dormez ! Laissez  votre être essantiel se libéré la nuit, dans votre sommeil, votre double, votre vous-même dans l’autre dimension, celle de cause à tous les effets, laissez le vous suggérer ce qui est bon pour vous-même encré à ce monde de matière hurlante, sachez l’écouter, sa voix est faible, elle se renforcera au fur et à mesure de votre avancement.

Vous réaliserez que dans cette duplicité suggérée et lentement construite par vous et pour vous, est cèle une duplicité innée, dans votre propre nature, une polarité est pour vous évidente, très et par fois trop assumée, l’autre bien moins évidente et apparente, pourtant déterminante. Consolidez les liens entre ces deux polarités de votre être, surveillez les, considérez les comme deux portions d’une même chose qui s’intriquent, se complètent, cohabitent, chacun dans leur rôle qui supporte, raffermie et permet à l’autre de s’épanouir, l’un se nourrissant de l’autre.

Donc vous verrez que les frictions se réduirons, que cette cohabitation deviendras de plus en plus simple et facile à assumer. Vous marchiez ? Et bien maintenant apprenez à « voler » !

 

 

 

 

 

4.) Garder constamment un œil et une oreille attentifs au contexte de vie dans l’autre polarité celle de la nécessité quotidienne, comparez la et jugez les attentivement par rapport à l’établissement et à l’avancement de votre propre contexte et méthode de vie dans votre nouvelle polarité de votre être que vous avez choisi et assumé, tirez les conclusions, faites un bilan, corrigez les dérives. 

 

Cette dichotomie  dans cette distinction de ce qui est nécessaire pour être, et ce que nous sommes vraiment, il se doit d’être vécue sens les confondre, sens que l’une envahisse l’autre, ce n’est pas un exercice simple, mais avec de la pratique l’on si fait, on s’adapte et on adopte ce nouveau expire – aspire, rythmant notre nouvelle manière d’exister;

 

Il est nécessaire de posséder un regard critique sur cette nouvelle manière d’exister, d’une part car tout comme chaque nouveauté, c’est surprenant et il faut la pratiquer, et d’autre part car pour arriver à obtenir des résultats probants il faut faire la part de ce que cela implique, de ce qui nous tirerons comme avantages ou conséquences plus ou moins heureuses de cette volontaire et consciente cohabitation.

Il est en effet difficile d’assumer, de pratiquer une séparation plus ou moins « nette » entre ces deux circonstances, que à dire peut, sont opposées et contraires en sens, en tous les sens. Il ne faut pas que l’une envahisse l’autre, déteigne sur l’autre, que fait-on d’un cœur dans un cerveaux ou un cerveaux dans un cœur ?  Il est nécessaire évaluer et suivre ses propres avancements dans un constat, une vision objective et auto analytique des deux côtés du " spectre prismatique " de cette nouvelle conscience affinée, elle possède son pouvoir, ses facultés, mais aussi ses déformations, ses altérations et donc ses dangers.

Les dérives inévitables en votre âme et conscience, doivent être corrigées, fiez vous à votre bon sens intérieur, plus tôt côté cœur que côté cerveaux, vos intuitions positives naissent dans le terrain fertile de votre esprit, sachez les interpréter convenablement.

 

Petit à petit votre essence se révélera à votre conscience, la chrysalide se fait papillon. Cela non pas sens efforts, sens le bon sens, l’humilité sereine de qui se découvre dans la voie.

Vous allez franchir des seuils, le franchissement sera proportionnel à votre don inné, qui sommeillait en vous, dans l’attente d’être révélé à votre conscience, soyez prêts à entrevoir d’autres réalités que celles aux quelles vous étiez plus ou moins habitués.

Cette nouvelle perception offre des prospectives qui vont entrer dans votre conscience de manière à compléter le cadre expérimental de vos existences.

 

En effet en exerçant la perception subtile de cette nouvelle dimension, que lentement vient à vous autant que vous allez vers elle, vous allez acquérir une sensibilité nouvelle, qui peut être définie en synthèse comme voir le monde du « dehors, matière» et du « dedans, esprit », un peut comme si vous observiez une voiture et qui en même temps vous en perceviez en même temps l’enchevêtrement électrique, électronique, mécanique, déterminant son fonctionnement, vous voyez et « ressentez » chaque chose, chaque événement, chaque situation, vous ne vous contenterez plus de l’observer avec vos organes de perception physiques, vous leur apporterez le ressenti sensible, subtil, que vous aurez développé en vous.

Cette nouvelle perception vous valorisera et complétera, et ceci iras en crescendo, par un mécanisme modérateur lui aussi très subtil, comme tout d’ailleurs dans cette nouvelle perception,  votre approfondissement de ce nouveau état de conscience grandira au fur et à mesure que vous le partagez avec d’autres esprits sensibles tel le votre nouvellement acquis. Plus vous élargissez votre partage et cadre expérimental plus cette perception s’affinera, cela semble simple, mais hélasse comme anticipé, ce principe modérateur est bien rodé, comporte une difficulté majeur, celle de trouver avec qui, et je peux vous anticiper que ce n’est pas si simple et évidant. En effet votre « nouvelle polarité » aura la particularité d’attirer ses contraires, comme toutes polarités électriques, ou dans ce cas magnétiques, une manière de mettre à l’épreuve votre nouveau discernement, une large majorité d’êtres allant à votre rencontre (destins) aurons une coloration, une nuance apparent à vos nouveaux sens acquis, mais ce n’est que l’arbre cachant la forêt, à vous de mesurer, tester, « scanner » le vrais niveau et degré de conscience, est-il que de surface vrais, ou masquant des origines et tenants plus ou moins « pervers » ? C’est la phase dite savoir distinguer le « bien » du « mal », qui en passant par votre discernement, vous permet aussi, et c’est capital ! De discerner en vous quelle est en vous-mêmes cette proportion que toutes nos âmes et esprits sensibles comportent à différents degrés.

Un principe modérateur de premier degré, permettant d’entrer à faire part ou non de la communion des esprits sensibles et vertueux, dés lors que vous êtes vous-mêmes, complètement « redressé », c’est-à-dire « assimilable » par le pouvoir de conscience collectif.

La clé c’est à vous à chacun de nous de la confectionner et de l’entretenir, ce que l’on y gagne ou on y trouve, c’est à chacun de vous, de nous de le découvrir, tout ce que je peux vous dire c’est :

…… .Que la force soit avec vous ! 

 

 

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Life want Life want God want Life